Journées Portes Ouvertes : venez découvrir l’IES Business School
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L’IES s’implante à Lyon

L’IES Business School est en pleine croissance et va ouvrir, au cours des prochaines années, plusieurs nouveaux campus partout en France. En ce sens, l’IES Auvergne-Rhône-Alpes pourra accueillir des élèves dans son campus de Lyon dès la rentrée de septembre 2023. Nous allons donc vous parler de la création de cette nouvelle école du groupe IES à travers une interview avec Frédéric Campart et Martine Bonnier, qui seront les responsables de ce campus.

Bonjour Martine, Bonjour Frédéric ! Pouvez-vous nous parler de votre parcours ?

Martine Bonnier : « J’ai exercé des responsabilités marketing, relation client et direction de projets au sein de différents acteurs du Digital : éditeur, régie et annonceur tels que Jet Multimedia, CellCast Media ou Station Next Media, et aussi opérateurs Telecom tels que Numericable ou 9Télécom. Depuis 2009, je suis associée de Station Next, agence digitale que j’ai créé avec Frédéric. »

Frédéric Campart : « Avant de créer Station Next avec Martine, j’ai occupé des postes de responsable commercial, marketing et communication au sein de Mappy, Jet Multimédia, Orange, EuroRSCG et Bouygues. J’ai aussi participé au développement de plusieurs startup comme Glowria, Le Bazar Parisien ou Andtrade. »

L’IES s’installe à Lyon. Pouvez-vous nous en dire plus ?

FC : « Station Next partage l’essentiel de son activité entre Paris et Lyon et nous observons le formidable dynamisme de la capitale de la région Auvergne-Rhône-Alpes. C’est vrai dans le secteur Digital mais aussi dans d’autres domaines d’activité. Le choix que l’IES a fait de s’installer à Lyon s’inscrit tout naturellement dans notre volonté de développement et d’épanouissement afin de pouvoir accompagner au mieux les élèves qui le souhaitent. Ces derniers pourront intégrer notre école dès la rentrée de septembre 2023.  »

MB : « Lyon est une métropole jeune avec un grand nombre d’étudiants, mais aussi une ville de plus en plus ouverte à l’international, qui bénéficie de sa proximité avec l’Allemagne, la Suisse et l’Italie. C’est aussi une région à fort potentiel d’attraction pour le tourisme. Cela représente un cadre idéal pour les parcours de formation des étudiants du territoire. »

Qu’est-ce qui vous motive dans ce projet ?

FC : « Je connais Boris Mazurier, Président et Directeur général de l’IES Business School, depuis plus de 30 ans. Quand il m’a proposé d’enseigner à l’IES Normandie, j’ai retrouvé au sein de cette école de commerce des valeurs et des méthodes pédagogiques dans lesquelles je me reconnais. L’idée d’apporter cette pédagogique innovante aux étudiants de la région Auvergne-Rhône-Alpes me motive énormément. Se former à un métier ne suffit pas pour évoluer dans le monde de l’entreprise, que ce soit au sein d’une startup, d’une PME ou d’une multinationale. Le savoir-être est tout aussi essentiel pour adopter les bons comportements dans l’environnement du travail. L’attachement à la culture générale est également indispensable pour acquérir des repères et savoir évoluer dans une société avec autant de changements. »

Que va apporter notre école de commerce aux étudiants lyonnais ?

MB : « J’enseigne également à l’IES Normandie depuis quelques années et l’approche pédagogique est vraiment ce qui fait la différence : des classes à effectif maîtrisé et une dimension humaine qui permet de connaître individuellement les étudiants pour mieux les accompagner. »

Quelles formations seront proposées ?

MB : « Nous proposerons à Lyon les principaux diplômes de l’IES Business School : BTS, Bachelor et Bac+5. Ces formations couvrent les principaux besoins des métiers des entreprises : marketing, ressources humaines, commerce, finance. »

Quelles sont vos ambitions pour l’IES Auvergne-Rhône-Alpes ?

FC : « Du fait de notre parcours dans le Digital, nous serons attachés à la transformation numérique qui touche l’ensemble des métiers et des secteurs. Notre ambition est de créer des relations fortes avec les entreprises de la région pour maintenir les excellents taux d’employabilité de nos élèves à l’issue de leurs études. »

Nous vous remercions, Martine, Frédéric, d’avoir répondu à nos questions.